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1924 Au jardin des Gemmes Léonard Rosenthal illustré par Léon Carré Piazza

(Code: AUJARDINDESGEMMESPIAZZA)
200,00 EUR
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1924 Au jardin des Gemmes Léonard Rosenthal illustré par Léon Carré Piazza

TITRE : Au jardin des gemmes

AUTEUR(S) :  Léonard Rosenthal

ÉDITEUR : éditions d’art Piazza

ANNÉE : 1924

FORMAT : 23 cm x 30 cm

NOMBRE DE TOMES : 1

NOMBRE DE PAGES : 158

ILLUSTRATIONS : oui, 12 superbes compositions couleurs hors-texte protégées par serpente légendée de Léon Carré, lettrines, en bandeaux, guirlande dorée en marge supérieure et inférieure de chaque page

RELIURE : broché, couverture souple

JAQUETTE : oui, illustrée couleurs

SIGNET : non

RHODOÏD : non

PARTICULARITÉS : exemplaire offert par l’auteur à Mademoiselle M. Duveau. Il a été tiré de cet ouvrage 2250 exemplaires dont 250 avec un état en couleurs. L’exemplaire proposé est en couleurs il porte le numéro CCCXIV (erreur de numérotation manuscrite ?)

ÉTAT : bon état, jaquette en mauvais état (manques, trous), manques sur la partie inférieure du 1er plat de la couverture et sur le dos, intérieur très propre

THÈMES : bijoux, gemmologie, littérature, édition limitée

 

SUR LE LIVRE

 

Léonard Rosenthal ou Léo Ro (né le 19décembre 1874, à Grozny et mort en 1955) est un diamantaire et homme d'affaires français originaire du Daghestan proche d'Henri Barbusse, Jean Perrin, Paul Painlevé, Anatole France et Paul Léautaud.

 

Chaque pierre précieuse (chaque gemme, disent les professionnels) possède sa propre symbolique ; la force pour le diamant, la passion pour le rubis, la pureté pour le saphir ou encore la fertilité pour l’émeraude. Elles permettent donc de délivrer un message.

 

On doit à Léonard Rosenthal, homme d'affaire ayant fait fortune dans le bâtiment et diamantaire à ses heures, cette édition de 1924 éditée à petit nombre chez Piazza éditeur.

 

L'auteur nous conte quelques légendes attachées à l'émeraude, au rubis, et au saphir, illustrées de 12 compositions hors-texte de Léon Carré, contrecollées et entourées d'un bel encadrement or. Deux chapitres supplémentaires abordent la magie des pierres et les superstitions qui s'y attachent. On doit les illustrations à Léon Carré (1878 – 1942), bien connu des amateurs, et artiste attitré de la maison Piazza pour qui il dessina de nombreux ouvrages à caractère orientaliste.

 

Quand on associe un professionnel de la pierre précieuse pour le texte, un illustrateur talentueux et un éditeur renommé, on ne peut dire que : "Gemme "

 

Source :livresancienstarasconblogspot

 

On retrouvera les chapitres suivants

Au lecteur ; Le bijou ; L’émeraude ; Le rubis ; Le saphir ; Les gemmes et leurs vertus ; Les pierres gravées – La maie et les superstitions – Secrets et prévoyances – Le risque des bijoux ; Les bijoux et la fortune française.

 

Table de sillustrations

Tasuki et Garuda ; La déesse émeraude ; La tombe du Roi Hermias ; Le dragon des montagnes ; Les bords du Ravanagango ; Le Roi de Pégu ; Heraclea et l’oiseau au rubis ; Le calendrier et le génie furieux ; Sita et le singe sacré ; Les Cinghalaises ; Le saphir en Orient ; La vertu du saphir

 

Léon Carré est un peintre et illustrateur français né à Granville le 23 juin 1878 et mort à Alger le 2 décembre 1942.

 

Léon-Georges-Jean-Baptiste Carré entre à l'école des beaux-arts de Rennes, puis il intègre l'École des beaux-arts de Paris le 11 mars 1896 grâce à Léon Bonnat dont il suit les cours, ainsi que ceux de Luc-Olivier Merson. Il fut le double lauréat du prix Chenavard. Il expose au Salon des artistes français en 1900 puis, dès 1905, au Salon des indépendants, et effectue un premier voyage en Algérie en 1907. Il expose au Salon de la Société nationale des beaux-arts à partir de 1911, ainsi qu'au Salon d'automne.

 

Lauréat de la bourse de la Villa Abd-el-Tif en 1909, il se fixe à Alger. Peintre orientaliste, il pratique l'huile, la gouache et le pastel. En 1927, Léon Carré contribue à la décoration du paquebot Île-de-France pour la Compagnie transatlantique, et dessine de nombreuses affiches pour la Compagnie PLM (dont celle du centenaire de l'Algérie en 1930). Il a également dessiné le billet de50 francs de la Banque de l'Algérie émis en 1942.

 

En 1935, il publie des compositions pour le conte de Paul Wenz, L'homme qui resta debout, dans le numéro spécial de Noël de L'Illustration.

 

Il est l'époux de l'artiste-peintre Ketty Carré, née Anne-Marie Lederer (1882-1964).

 

Il signe sous le pseudonyme de « L. Georges » ou « Léon Georges » pour ses collaborations à l'Assiette au beurre et au Rire.