GUSTAVE FLAUBERT
►Bouvard et Pécuchet
► Le dictionnaire des idées reçue
► L’album
► Une leçon d’histoire naturelle (genre commis)
► Préface aux dernières chansons
► Lettre à la Municipalité de Rouen
Fait partie des Œuvres complètes illustrées de Gustave Flaubert - Texte définitif de la Bibliothèque Charpentier - Édition du Centenaire - À Paris ; Librairie de France ; F. Sant’Andréa, L. Marcerou & Cie - Année 1923 - Culs-de-lampe et bandeaux en noir ; en hors-texte ; un frontispice - Demi-reliure ; dos à 2 pièces de titre ; pages de garde marbrées couleurs ;tranchefile, tranche supérieure couleur (rouge) ; format 18x23,5 ; 515 pages
Illustrations de Bernard Naudin
Thèmes : littérature ; collection littéraire ; romans ; romantisme
État : bon état, petits frottements de reliure, tampons de bibliothèque, quelques rousseurs, un manque sur la page de titre de « Une leçon d’histoire naturelle genre commis » partie inférieure (voir photographie), propre et solide.
Les petites taches noires sur les photographies sont dues à un défaut sur l’objectif de l’appareil photo.
Particularités : ex-libris.
► Gustave Flaubert est un écrivain français né à Rouen le 12 décembre 1821 et mort à Croisset, lieu-dit de la commune de Canteleu, le 8 mai 1880. Considéré, avec Victor Hugo, Stendhal, Balzac et Zola, comme l'un des plus grands romanciers français du 19ème siècle, Flaubert se distingue par sa conception du métier d’écrivain et la modernité de sa poétique romanesque.
► Bouvard et Pécuchet est un roman inachevé de Gustave Flaubert publié en 1881 à titre posthume.
Par un chaud dimanche d'été, près du bassin du port de l'Arsenal, sur le boulevard Bourdon, à Paris, deux promeneurs, Bouvard et Pécuchet, se rencontrent par hasard sur un banc public et font connaissance. Ils s'aperçoivent qu'ils ont eu tous deux l'idée d'écrire leur nom dans leur chapeau : « Alors ils se considérèrent. ». Tombés sous le charme l'un de l'autre, Bouvard et Pécuchet découvrent que non seulement ils exercent le même métier de copiste, mais qu'en plus ils ont les mêmes centres d'intérêt. S'ils le pouvaient, ils aimeraient vivre à la campagne.
► Bernard Étienne Hubert Naudin, né à Châteauroux le 11 novembre 1876, et mort à Noisy-le-Grand le 7 mars 1946, est un peintre, dessinateur, caricaturiste et graveur français.
Né dans une famille de fabricants de montres et de marchands d’antiquités, son père était également peintre et designer et a servi de premier professeur à Naudin. En 1891, il a créé sa première illustration pour Jean Baffier, éditeur de la revue littéraire Le Réveil de la Gaule.
En 1893, il déménage à Paris et donne des cours de guitare pour payer ses études à l’Académie Colarossi, où il deviendra plus tard professeur. En 1897, il obtient une bourse de la ville de Châteauroux qui lui permet d’étudier à l’École des beaux-arts de Paris avec Léon Bonnat.
Après 1906, il abandonne la peinture pour se consacrer exclusivement au dessin et à la gravure, en particulier à la gravure sur bois. À partir de 1909, il a créé plusieurs numéros spéciaux sur la guerre, l’itinérance, les mauvais traitements infligés aux enfants et les prisons. Au début de la Première Guerre mondiale, il a été incorporé comme sergent d’infanterie et est devenu illustrateur de guerre, décrivant la vie dans les tranchées.
