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Bucquoy Dragons et Guides d’État-Major Uniformes 1er Empire Napoléon militaria Cavalerie uniformologie histoire militaire Bonaparte Armée Régiment

(Code: BUCQUOYDRAGONSGUIDESETATMAJOR1EREMPIRE)
35,00 EUR
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Bucquoy Dragons et Guides d’État-Major Uniformes 1er Empire Napoléon militaria Cavalerie uniformologie histoire militaire Bonaparte Armée Régiment

DRAGONS

ET

GUIDES D’ÉTAT-MAJOR 

 

« Si notre Cavalerie légère prend aussi des villes fortes, il faudra que je licencie le Génie et que je fasse fondre mes grosses pièces » Napoléon à Murat

 

Éditions Jacques Granger à Paris dans la collection « Les uniformes du Premier Empire »

Collection du Commandant E.L. Bucquoy rééditée par le Lieutenant-Colonel Y. Bucquoy et Guy Devautour

 

Année 1980

Couverture skyvertex de couleur verte sous jaquette illustrée couleurs – format 21,5x28 – 183 pages – signet - tranchefile – superbes illustrations couleurs in et hors-texte (Benigni ; Feist ; Bucquoy ; Huen ; Rousselot ; Vallet ; Job, etc…)

 

Thèmes : militaria, uniformologie, 1er Empire, Napoléon, histoire militaire, cavalerie, Bonaparte

État : bon état, jaquette en état d’usage, propre et solide

Particularités : tome 6 de la collection (chaque tome est indépendant)

 

 

Indispensable pour les amateurs de l'histoire militaire napoléonienne.

 

Présentation

 

De tous temps, même dans l’Antiquité, les « chefs de guerre se sont efforcés d’adjoindre à leur Cavalerie des troupes moins bien montes cependant capables de se déplacer rapidement et de combattre l’Infanterie ». Alexandre Le Grand alignait des dimaques, les Romains d’Orient faisaient combattre à pied certains cavaliers dès le 6èmesiècle.


C’est l’apparition de l’arme à feu qui va permettre la création des arquebusiers à cheval, c’est-à-dire les Dragons.


Sous la Révolution et l’Empire, l’habit vert et le casque de cuivre des Dragons devinrent célèbres sur tous les champs de bataille, se couvrant de gloire à Austerlitz, à Eylau, à Friedland et à la Moskowa. En 1813 à l’heure des revers, les cavaliers d’épopée, les vieux Dragons d’Espagne, brûlés au soleil de l’épreuve semaient la terreur dans les rangs des Autrichiens, des Russes et des Prussiens.


Autant les Dragons étaient puissants, autant les Guides issus des Hussards, de tous les Corps de Cavalerie, rapides et fringants comme des guêpes, tourbillonnaient autour des États-Majors. Prêts à escorter, à ouvrir la route, à sabrer, à porter un pli urgent à travers le champ de bataille, ils furent prisés par tous les grands de l’Empire. Ces derniers n’aspiraient qu’à posséder leurs propres compagnies chamarrées et élégantes dont la passion du cheval n’égalait que le dévouement et l’amour de la Gloire.