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Fermes et logis du bocage de l’ouest Anjou Maine Vendée architecture patrimoine ruralité Fréal Serg André Sarazin

(Code: FERMESLOGISBOCAGEOUESTANJOUMAINEVENDEE)
30,00 EUR
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Fermes et logis du bocage de l’ouest Anjou Maine Vendée architecture patrimoine ruralité Fréal Serg André Sarazin

FERMES ET LOGIS DU BOCAGE DE L’OUEST

Anjou

Maine

Vendée

 

Par André Sarazin, archiviste de la ville d’Angers

Publication Jacques Fréal

Éditions Serg

 

Année 1975

Couverture cartonnée couleur sous jaquette illustrée – format 23,5x28 – 135 pages –tranchefile – illustrations en noir

 

Thèmes : ruralité, architecture, patrimoine, inventaire

État : bon état, petites marques et usures sur la jaquette, propre et solide

 

Au sommaire

 

Le pays de bocage : anciennes maisons nobles et fermes isolées au bout d’un chemin creux …

Les coutumes rituelles : du fond des âges semblent s’être maintenues d’inconscientes fidélités à des cultes perdus…

Les puits : l’homme des champs a, fort naturellement, le culte de cette eau nourricière, facteur de vie…

La maison paysanne : adossée au « vent de galerne », elle s’ouvre au soleil levant…

L’agencement intérieur de la maison paysanne : une haute cheminée où bée la gueule du four, lits à quenouilles ou à rouleaux, armoires sculptées au couteau, c’était avant l’achat de poste de télévision et la dépersonnalisation de la vie.

Les borderies : un troupeau de quelques chèvres formait toute la richesse du bordier.

La maison des bourgs : la bourgade d’autrefois formait une entité vivant dans une économie presque fermée, bien moins dépendante que de nos jours de la ville voisine.

Les logis seigneuriaux : le plus grand nombre des gentilshommes de l’ouest était pauvre et vivait presqu’aussi modestement que les paysans ses voisins.

L’agencement intérieur des logis seigneuriaux : avec « autant d’enfants que Dieu voulait en donner » ces familles d’autrefois se partageaient les quatre pièces principales d’un manoir seigneurial.

Les défenses extérieures : « chevaliers en ce monde cy ne peuvent vivre sans soucis ils doivent le peuple défendre et le sang pour la foy épandre ».

Les chapelles : processions « bannières en tête », récitation du chapelet, conduisaient à la chapelle seigneuriale toute la communauté villageoise.

Les fuies : les malheureux pigeons faisaient les frais de l’extrême passion qu’eurent nos ancêtres pour la fauconnerie.

La maison de maîtres : le bourgeois des villes plaçait en achat de terres, les bénéfices de son activité, mais sa demeure n’a point droit aux marques distinctives des maisons nobles.

Les moulins à vent : les belles meunières portaient des bijoux qui excitaient l’envie.

Le Val de Loire : « je ne m’accoutume pas à la beauté de ces paysages », Marquise de Sévigné, mai 1688

Le Saumurois : tuffeau blond et ardoise font de la maison saumuroise la plus élégante des pays de l’ouest.

Le Baugeois : pays de calcaire et pays de forêt, le Baugeois emprunte du Saumurois et du haut-Maine.

La Vallée : aux maisons à colombage, couvertes de genêt se substituèrent peu à peu les constructions faisant appel au tuffeau saumurois et à l’ardoise d’Angers.

La basse-vallée de la Loire du bassin d’Angers au Pays Nantais : murs de schiste et encadrements de tuffeau…maisons des zones inondables juchées sur quelque tertre artificiel au péril de la Loire.

Le haut-Maine : toitures de tuiles plates, grès de roussard et colombages, essentages et bardeaux…

Le Segréen et la bas-Maine : pays de Chouans, de chemins creux et de haies épaisses où se sent déjà la proximité de la Bretagne.

Au nord de l’Aquitaine antique ; Vendée Mauges et Pays de Retz : l’ancien domaine des rois wisigoths est resté fidèle à la tuile romaine ; le granit du sol à marqué l’âme du pays tout entier.

« t’avais eune âme, bonhoume pésant » (Marc Leclerc)