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Friedrich von Müller Souvenirs des années de guerre 1806-18213 Fondation Napoléon

(Code: FRIEDRICHVONMULLERSOUVENIRSDGUERRE)
25,00 EUR
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Friedrich von Müller Souvenirs des années de guerre 1806-18213 Fondation Napoléon

FRIEDRICH Von MÜLLER

 

Souvenirs des années de guerre

1806-1813

 

Fondation Napoléon

Diffusion Tallandier

 

Présentation et traduction de Charles-Otto Zieseniss

Préface de Jean Tulard

Année 1992 –212 pages

Reliure pleine toile éditeur de couleur vert empire ornée d’une médaille or représentant l’Empereur de profil – format 15,5x24 – pages de garde couleur –jaquette illustrée – portrait en noir de l’auteur en frontispice

 

Thèmes : biographie ; journal ; 1er Empire ; Napoléon ; histoire ; Allemagne ; 19ème siècle ; mémoires

État : bel état, propre et solide

Particularités : sur papier vergé ivoiré ; reliure gravée par Michel Vincent et exécutée par les Compagnons Relieurs Doreurs

 

Présentation de l’éditeur

Ce journal des années de guerre 1806-1813 rend compte des tribulations d’un haut fonctionnaire allemand, dont la patrie était soumise à la domination napoléonienne.

Friedrich von Müller, chancelier du duc de Saxe-Weimar, a eu de nombreux contacts plus ou moins cordiaux avec les autorités occupantes. Il a rencontré le Grand maréchal Duroc, les ministres Talleyrand, Daru et Champagny, les maréchaux Berthier, Bessières et Ney, dont il esquisse des portraits succincts, mais vivants. Quant à l’Empereur, qu’il a vu plusieurs fois, qui l’a reçu à Fontainebleau, Müller rapporte ses propos en français, ce qui augmente encore l’intérêt de son témoignage.

Très lié à Goethe, dont il sera l’exécuteur testamentaire, Müller évoque l’illustre écrivain et d’autres allemands notables, tels le Duc de Weimar, commandant d’un corps d’armée prussien et la duchesse, dont le courage et l’adversité lui valut l’estime et les égards de Napoléon.

Les pages consacrées à la rencontre d’Erfurt éclairent cet épisode d’un jour nouveau et ne sont pas les moins importantes d’un livre peu connu des historiens, jamais traduit en français ni même réédité depuis sa publication posthume en 1850.