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Histoire des Ménageries Gustave Loisel Antiquité Moyen Âge Renaissance

(Code: LOISELHISTOIREDESMENAGERIES)
75,00 EUR
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Histoire des Ménageries Gustave Loisel Antiquité Moyen Âge Renaissance

HISTOIRE DES MÉNAGERIES DE L’ANTIQUITÉ À NOS JOURS

 

Antiquité

Moyen Âge

Renaissance

 

Gustave Loisel (Docteur ès Sciences ;Docteur en médecine ; Directeur de laboratoire à l’École des Hautes-Études)

Éditons O. Doin et Fils ; Henri Laurens

Année 1912 – 319 pages – broché – format 16,5x25,5 – couverture souple sous jaquette

16 planches en noir protégées par serpente légendée

 

Thèmes : animaux ; zoologie

État : bon état, jaquette tachée, propre et solide

Particularités : tome 1

 

Présentation

 

Cet ouvrage en même temps qu'une grande et nouvelle contribution à l'histoire de la zoologie, est une véritable introduction à l'étude expérimentale des animaux de ménagerie.

Des tables donnent la concordance entre noms scientifiques des espèces et noms vulgaires actuels et anciens. L'auteur précise à quelle époque telle espèce est apparue dans les ménageries, quand elle est passée de la captivité à l'état d'acclimatation et de domestication. Il décrit les travaux et expériences faites par l'homme sur les animaux sauvages dans l'histoire : croisements, dressages, alimentation etc. Le livre traite aussi du rôle des ménageries dans la zoologie descriptive, anatomie comparée, dans la zoologie économique. Il fournit une étude critique sur l'architecture des ménageries, les conditions de logement, nourriture activité pour la santé des animaux sauvages en captivité.

 

Au sommaire

 

L’Antiquité et le Moyen Âge (jusqu’à la fin du 14èmesiècle)

Les ménageries des Égyptiens 

Les ménageries en Asie et en Grèce 

Les petites ménageries des Romains 

• Les grandes ménageries des Romains – Combats de l’amphithéâtre 

• Les ménageries du Moyen Âge en Orient, en Italie, en Angleterre, dans les Pays-Bas et à Avignon 

• Les ménageries médiévales en France 

 

La Renaissance (15èmeet 16ème siècles)

• Les débuts de la Renaissance – Ménageries des Arabes, des Turcs et des anciens Mexicains  

• Les ménageries d’Italie à l’époque de la Renaissance 

• Les ménageries d’Angleterre, d’Espagne et de Portugal aux 15èmeet 16ème siècles

• Les ménageries des Pays-Bas, de Suisse, d’Allemagne et d’Autriche aux 15èmeet 16ème siècles 

• Les ménageries de Bourgogne, de Lorraine, de Savoie, d’Anjou et de Provence aux 15ème et 16ème siècles 

• Les ménageries des Rois de France aux 15ème et 16èmesiècles 

 • Les ménageries des Seigneurs, des Bourgeois et des Forains, du 15ème au commencement du 18ème siècles  








 

 

Sur l’auteur

 

Gustave Antoine Armand Loisel est un zoologiste français né le 27 novembre 1864 à Méry-Corbon(Calvados) et mort le 11 juillet 1933 dans le 7ème arrondissement de Paris.

 

Gustave Loisel fut docteur ès sciences et docteur en médecine, biologiste de carrière et professeur en Sorbonne.

 

Professeur de Zoologie des cours secondaires à la Sorbonne, Gustave Loisel a été directeur du Laboratoire d'embryologie générale et expérimentale à l'École pratique des hautes études.

 

Gustave Loisel est l'auteur, en 1912, de l'Histoire des Ménageries de l'Antiquité à nos jours, en trois volumes. Lors de la réorganisation de la «vieille ménagerie nationale », il avait mis à profit ses missions scientifiques effectuées en 1905 et 1906 auprès des jardins zoologiques d'Europe et d'Amérique pour rassembler une impressionnante documentation sur la « coutume de garder des animaux sauvages en captivité ». Désireux de combler la lacune qu'il avait constatée dans la bibliographie disponible, il a relaté les grandes étapes d'un des aspects spectaculaires des contacts de l'homme avec les animaux sauvages : la formation des collections d'animaux vivants, depuis les enclos sacrés des Égyptiens jusqu'aux parcs d'acclimatation et aux premiers jardins zoologiques modernes.

 

Ses précautions pour justifier son entreprise auprès des historiens comme auprès des zoologistes trahissaient l'incertitude où il était quant à l'accueil que les uns et les autres voudraient lui réserver. En y découvrant « quelque détail utile, nouveau ou inconnu d'eux », les zoologistes, espérait-il, « prendront plaisir et intérêt à parcourir » son ouvrage. Quant aux historiens, il voulait croire qu'« ils y trouveront, eux aussi, quelque intérêt » car « ils y verront la part immense que la coutume de garder des animaux sauvages en captivité a jouée dans les mœurs des grands et dans les amusements des peuples d'autrefois», un sujet qui, « par tant de côtés, confine à la grande histoire ».