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Steven Adams L’École de Barbizon aux sources de l’impressionnisme Phaidon arts décoratifs peinture paysagistes romantisme

(Code: ECOLEDEBARBIZONPHAIDON)
35,00 EUR
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Steven Adams L’École de Barbizon aux sources de l’impressionnisme Phaidon arts décoratifs peinture paysagistes romantisme

L’ÉCOLE DE BARBIZON

Aux sources de l’impressionnisme

 

Par Steven Adams - Éditions Phaidon - Année 1994 – couverture cartonnée toilée de couleur noire sous jaquette rempliée illustrée couleurs – format 25x29 – 240 pages – tranchefile – riche et abondante iconographie très majoritairement couleurs, in et hors-texte

 

Thèmes : arts, peinture, arts décoratifs, impressionnisme, peintres, paysagistes, romantisme

État : bon état, petites traces blanches sur le 2ndplat de la jaquette, propre et solide

 

Présentation

 

En 1863, Claude Monet et Frédéric Bazille quittèrent Paris pour Barbizon, un petit village situé à l’orée de la Forêt de Fontainebleau, à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Paris. Ils se rendirent dans la région pour peindre sur le motif en plein air et pour effectuer des études de peintures paysagistes, loin des pressions de la vie citadine. Avec Renoir et Sisley, ils suivaient un chemin bien balisé, qui avait déjà été emprunté par les peintres et les touristes une trentaine d’années auparavant. Dès 1822, Jean-Baptiste-Camille Corot avait étudié les charmes fugaces de la forêt, et au cours des années 1840, Charles-Émile Jacque, Gustave Courbet, Charles-François Daubigny et Jean-François Millet se rendaient fréquemment dans la région ; et certains s’y installèrent de façon permanente.

Comme de nombreux innovateurs, les peintres de Barbizon ont attiré une moindre attention que ceux qui leur succédèrent. On oublierait presque les noms de Théodore Rousseau, Narcisse Diaz de la Peña et de Georges Michel ; l’originalité de leur technique de peinture et les touches de peinture impulsives ont été attribués à ceux qui les utilisèrent par la suite.

Dans cette première étude consacrée à l’École de Barbizon depuis vingt ans, Steven Adams propose une nouvelle évaluation de la génération de peintres qui précéda les Impressionnistes, et illustre la relation directe qui réunit les peintures de Corot et celles de Monet, celles de Millet et celles de Van Gogh.

Il examine le développement de la peinture paysagiste en France au 19ème siècle, depuis la Restauration de la Monarchie des Bourbons, en 1816, jusqu’à la déclaration de la guerre Franco-Prussienne en1870, il débat de l’influence qu’eurent les changements culturels et politiques sur un style de peinture plus naturaliste, un demi-siècle avant que le terme « impressionnisme »n’apparaisse à Paris.

 

Repères

 

L'école de Barbizon désigne, de façon informelle, à la fois le centre géographique et spirituel d'une succession de colonies de peintres paysagistes établies autour de Barbizon, et le désir de ceux-ci de travailler «en plein air et d’après nature » dans la forêt de Fontainebleau.

Cet élan pictural prend forme à partir des années 1820 et est intimement lié au romantisme français. Il prend fin dans le milieu de la seconde partie du XIXe siècle, vers 1875.