2 LIVRETS SUR LA RÉSISTANCE DANS LELOIRET
► Le maquis de Lorris
► Ceux du groupe Chanzy
Thèmes : Loiret, Résistance, WWII, réseaux, maquis, seconde guerre mondiale 1939-
1945, F.T.P., Francs Tireurs Partisans, militaria
État : voir le descriptif par livret ci-dessous
► Le maquis de Lorris
Sans date ni auteur
Agrafé couverture souple illustrée couleurs – format 15x21 – 80 + 4 plans couleurs en fin d’ouvrage – 4 photographies en noir hors-texte en fin d’ouvrage et une en frontispice
Marques sur la couverture – un plan partiellement détaché
Repères
Le Maquis de Lorris comme pour la plupart des maquis a connu une mise en place très complexe, avec de nombreux intervenants. La spécificité du Maquis de Lorris réside dans le fait qu’entre 1942 et 1943, il est passé d’une organisation clandestine cachée dans un lieu retiré pour s’afficher ensuite au grand jour, et combattre ouvertement pour la libération de la France.
Dès 1942, le Loiret devient un véritable carrefour de la Résistance. Situé en plein cœur de la zone occupée, le département est stratégiquement placé sur un axe majeur de franchissement, la Loire. Trois mouvements majeurs entrent très tôt en résistance :
– Le Front National, ce sont les communistes du groupe Chanzy notamment, il est décimé à l’automne 1943
– Libération-Nord à Orléans, qui connaîtra aussi un coup d’arrêt après l’arrestation de ses principaux responsables
– Vengeance, sous la direction de Claude Lerude, effectuera un gros travail de renseignement avant d’être décimé à son tour en janvier 1944
Une fois les mouvements décimés, c’est dans les maquis que la résistance du Loiret sera la plus active.
Source : maquisdelorris
► Ceux du groupe Chanzy
Par André Chêne avec une préface de Louis Peron
Édité par la Fédération du Loiret du Parti Communiste Français
Année 1964 à Orléans
Broché couverture souple couleur – format 13,5x21 – 124 pages suivies de 3 pages (Membres desFfédérations du Loiret du Parti Communiste Français et des Jeunesses Communistes tombés pourque vive la France) – photographies en noir
Avec un envoi d’André Chêne.
Un rescotchage de renfort liaison haute 1er plat-dos
Repères
Arrêtés et torturés par la police française, ces militants communistes et membres du groupe clandestin Chanzy, furent condamnés à Orléans, le 1er octobre 1943, par un tribunal militaire allemand pour leurs nombreuses actions de sabotage menées sur la ligne de chemin de fer Paris-Vierzon comme sur les écluses du canal de Briare, pour les multiples coupures de câbles téléphoniques, pour les attaques de soldats en vue de leur prendre leurs armes et pour l’attentat contre Marcel Déat, créateur en 1941 d’un parti d’extrême-droite (le RNP) et dirigeant à l’époque du journal collaborationniste et antisémite "L’Oeuvre".
Source : magcentre