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Catulle Mendès Lucien Métivet Les plus jolies chansons du pays de France chansons tendres Plon Nourrit musique culture

(Code: METIVETPLUSJOLIESCHANSONSFRANCE)
90,00 EUR
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Catulle Mendès Lucien Métivet Les plus jolies chansons du pays de France chansons tendres Plon Nourrit musique culture

LES PLUS JOLIES CHANSONS DU PAYS DE France

Chansons tendres

 

Choisies par Catulle Mendès

Notées par Emmanuel Chabrier et Armand Gouzien

Illustrées par Lucien Métivet

 

À Paris, chez Plon, Nourrit et Cie, Imprimeurs-éditeurs

Sans date (fin 19ème )

Demi-reliure, dos lisse, plats cartonnés marbrés couleurs, pages de garde marbrées couleurs – tranchefile, format 19,5x27,5 – 146 pages – belles illustrations en noir et en couleurs hors-texte – reproductions des partitions musicales – culs-de-lampe

 

36 chansons illustrées 

 

Thèmes : livres anciens, musique, patrimoine culturel

État : bon état, manques partiels au niveau de la coiffe supérieure, légers écartements de certains feuillets, papier légèrement jauni d’époque, propre et solide

Particularités : le livre est recouvert. Les taches blanches sur les photographies sont dues aux reflets de lumière sur le plastique recouvrant le livre lors de la prise de vue.

 

Lucien Marie François Métivet né le 19 janvier 1863 à Paris et mort le 16 juillet 1932 à Versailles est un peintre, affichiste, illustrateur et homme de lettres français.

 

Fils d'un conducteur de travaux et d'une artiste peintre, professeur de dessin dans les écoles municipales de la Ville de Paris, Lucien Métivet après des études au lycée Charlemagne et des cours à l'Académie Julian, entre en 1882 à l'École des beaux-arts de Paris où il devient l'élève de Fernand Cormon. Il y croise Henri de Toulouse-Lautrec et Louis Anquetin. L'année suivante, il accomplit un service militaire d'une durée d'un an à Rouen au 39ème régiment d'infanterie.

 

Métivet effectue ses premiers envois au Salon de la Société des artistes français dès1889, puis au Salon de la Société nationale des beaux-arts. Il a été vice-président du Salon des humoristes.

 

Il a travaillé pour divers journaux dont Le Rire, Le Monde moderne, L'Assiette au beurre, Le Monde illustré, Excelsior ou le Journal amusant.

 

En 1900, il représente la section humoristique durant l'Exposition universelle à Paris, puis est exposé dans la section française durant l'Exposition universelle de Turin de 1911.

 

Longtemps domicilié à Paris au 6, boulevard de Clichy, il s'était retiré au milieu des années 1920 à Versailles au 16, rue de Béthune.

 

Mort à Versailles le 16 juillet 1932, Lucien Métivet était marié depuis octobre 1923 avec Camille Naulleau, veuve du photographe René Le Bègue (1857-1914). Il était veuf depuis septembre 1922 de Marie Gibert, fille du dessinateur et graveur Henri-Émile Gibert (1818-1882) élève d'Augustin François Lemaître et de Léon Gaucherel.

 

Après des obsèques organisées quatre jours après sa mort à l'église Sainte-Jeanne-d'Arc de Versailles, Lucien Métivet est inhumé à Paris au cimetière du Montparnasse.