Err

Villes d’Afrique noire entre 1650 et 1960 Poinsot Sinou Sternadel La documentation française urbanisme

(Code: VILLESAFRIQUE16501960DOCUMENTATION)
20,00 EUR
Ajouter au Panier
Villes d’Afrique noire entre 1650 et 1960 Poinsot Sinou Sternadel La documentation française urbanisme

TITRE : Les villes d’Afrique noire entre 1650 et 1960

AUTEUR(S) : J. Poinsot ; A. Sinou ; J. Sternadel

ÉDITEUR : La Documentation française

COLLECTION : Analyses et documents 

ANNÉE : 1989

FORMAT : 16 cm x 24 cm

NOMBREDE TOMES : 1

NOMBREDE PAGES : 346

ILLUSTRATIONS : oui, illustrations en noir (photographies ; plans, croquis)

RELIURE : broché, couverture souple illustrée

JAQUETTE : non

SIGNET : non

RHODOÏD : non

ÉTAT : bon état, propre et solide

THÈMES : Afrique, urbanisme, colonisation


Résumé

 

Cette étude présente les paysages urbains des villes coloniales d'Afrique noires entre 1650 et 1960.

Elle analyse deux secteurs : l'urbanisme et l'habitat, ce dernier secteur n'ayant touché la population africaine qu'après 1945. Cette recherche a été effectuée auprès des Archives Nationale section Outre-Mer, les archives de la CCCE, les archives nationales du Sénégal.

Les auteurs considèrent trois périodes: le temps des comptoirs (1650-1880), le temps colonial (1880-1945), la décolonisation (1945-1960). Pour chaque ville ils donnent les maitres d'ouvrage, maitres d'oeuvre, la description des interventions, des documents graphiques (plans, photos). Ils considèrent qu'il n'y a pas de politique urbaine en Afrique mais reproduction de la pratique métropolitaine, avec adaptation au contexte local dans certains cas. L'urbanisme colonial, c'est la partition de l'espace urbain en deux zones : la ville "européenne" et la ville "indigène". Les financements des opérations proviennent d'abord du Ministère de la Marine, ensuite du Ministère des Colonies, après 1945, FIDES et CCCE. Les intervenants sont d'abord les militaires, ensuite les Ponts et Chaussées et les Travaux Publics. Pour l'habitat les soucis de confort, ventilation et architecture climatique sont réservées aux Européens ; pour les africains et après 1945 les aménageurs cherchent des solutions moins coûteuses basées sur des techniques ou matériaux locaux (terre stabilisée).